Les Watères du château de Guillaume Marie

Guillaume Marie est né en 1979 à Coutances. Après des études de Lettres à Caen, il est aujourd’hui journaliste à Paris. Inspiré par les lieux qu’il habite et les animaux qu’il rencontre, il écrit principalement de la poésie (dernière parution : Exposition de reptiles vivants, Lanskine). Passionné par les expérimentations collectives, il est le fondateur du collectif Pou, qui publie notamment des petits livres de poèmes et des nouvelles pornographiques.

Elle n’était pas très haute. Une queue très belle, fournie, qui ressemblait cette fois bien à celle d’un cheval. Une crinière rase. Et alors, une corne. Une corne de plus d’un mètre, je pense, qui lui sortait tout droit du front, un peu au-dessus d’entre les deux yeux. Une corne qui semblait tourner sur elle-même comme une vis, une corne qui avait l’air d’être à la fois très légère et très solide. Quelque chose comme le mélange entre une antenne de voiture et le bois d’un cerf. »

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Recensions

Revue 303

« Il y a dans ce texte un hommage évident au roman épique où le héros, jamais en repos, court d’aventure en épreuve. La place manque ici pour dire toutes les richesses de ce récit foisonnant, d’une fantaisie réjouissante. » 

Le Matricule des anges

« Les tribulations pleines d’étrangeté d’un héros ordinaire. Un texte en mosaïque drôle, brûlant et troublant. » 

Libération

« Peut-on mettre tout ce qu’on aime dans un roman ? Du fantastique, de l’érotisme, de la poésie ? En se serrant, oui. » 

Zone Critique

« Un texte d’une fantaisie délicieuse, aux multiples références littéraires. Les Watères du château nous emporte dans ses multiples aventures, tout en détournant une série de motifs littéraires. Bref, un récit drôle, intelligent, riche et savoureux. » 

Revue Place Publique

« Un inclassable roman que l’on se résigne difficilement à quitter, aimantés par la tendresse suscitée par ce personnage de papier, tout autant que par la virtuosité d’un Guillaume Marie décidément bien réel. » 

Revue Catastrophes

« La scène avec le poulpe est vraiment stupéfiante ! Un beau roman tout doux et tout deglingos ! » 

Serial Lecteur Nyctalope

« Ce roman c’est un peu le kinder mais avec une véritable surprise à l’intérieur.  […] Aux portes de l’absurde, les cartésiens sont rois. C’est à la fois fantastique, sensible, porno-esthétique, drôle, que dis-je TRÈS DRÔLE.  » 

Librairie Lise & Moi — Vertou

« Je vous dois cet avertissement chère lectrice, cher lecteur, ce livre est loufoque, absurde et très bien écrit. Dites-vous bien que vous embarquer pour une lecture où l’on croise un poulpe géant, une licorne Place Viarme, et tout un tas d’autres surprises. Je ne saurais pas vous dire quel chapitre m’a le plus marqué, mais je peux vous dire que lire une scène érotique en plein milieu d’un wagon du TGV à destination de Paris, je m’en souviens parfaitement. » 

Librairie La Vagabonde

« Ce premier roman est une réussite : sans cesse déconcertant dans son récit comme dans la chute de ses phrases. Voilà longtemps que je ne m’étais pas régalée de tant d’originalité (une originalité modeste, pudique,  sans grandiloquence). » 

Librairie Le Merle Moqueur — Paris

« Un style légèrement décalé, faussement naïf, humoristique, gentiment sexuel de l’auteur. Le poème final est très réussi. » 

Followeird

« Chaque pièce du château de Guillaume Marie révèle de belles surprises. Un premier roman érudit, érotique, fantastique mais surtout sensible. » 

Les Notes

“Ici, Guillaume Marie s’attaque à son premier roman maniant brillamment, l’air de rien, l’autodérision. C’est savoureux, certes déroutant parfois mais souvent drôle, érotique par moments, poétique et surtout plein de sensibilité.”

Revue Noto

« Un roman vraiment réjouissant ! » 

Cécile Riou — Drôle De Vie La Vie De Poisson

« Un roman fantastique, érotique, drôle, qui ne vous lâchera pas d’une ventouse. A lire absolument. »